Etapes de vie

Décès d’un proche 

L’Eglise Catholique vous accompagne.

Vous serez accueillis, écoutés et accompagnés en toute liberté et discrétion.

LORSQUE LA MORT VOUS TOUCHE DE PRES…

La mort d’un proche est une rupture douloureuse. La perte et la séparation semblent impossibles à surmonter. Soudaine ou attendue, la mort nous surprend et nous interroge.

Les chrétiens croient que la mort est passage vers Dieu, dans la vie éternelle. Le Christ l’a annoncé. Il nous a ouvert ce chemin par sa vie, sa mort et sa résurrection.
Dans cette vie, déjà reçue au baptême, nous retrouverons ceux qui nous ont précédés auprès de Dieu.

QUE FAIRE LORS DU DECES D’UN PROCHE ?

Un médecin doit constater le décès. Vous pouvez ensuite contacter directement votre paroisse qui, en lien avec l’entreprise de pompes funèbres que vous aurez choisie, vous aidera à penser et à organiser les funérailles.

Si vous avez appelé d’abord les pompes funèbres, elles vous mettront en lien avec l’équipe funérailles de votre paroisse. Elle facilitera le choix de la date et de l’heure de la célébration à l’église ainsi que de l’inhumation au cimetière ou de la crémation.

Les chrétiens de la paroisse peuvent vous accompagner non seulement à l’église, mais aussi, selon vos souhaits, pour prier au lieu où reposera votre défunt (cimetière ou columbarium).

VOUS N’ETES PAS SEULS

Au nom du Christ, l’Eglise vous accompagne !

Des personnes :

- une équipe paroissiale vous accueillera. Avec elle, vous préparerez les funérailles. Elles seront célébrées à l’église, par un guide de funérailles (officiant laïc).

- le guide de funérailles (l’officiant laïc) a reçu une lettre de mission de l’évêque et, lors de la célébration, il portera une croix, signe distinctif de sa mission.

Une célébration à l’église :

La célébration est un temps de prière pour le défunt, mais aussi pour ses proches. Elle met en œuvre les signes du baptême : la lumière du cierge pascal, lumière du Christ ressuscité, l’eau baptismale pour bénir le corps du défunt et le recommander à la miséricorde de Dieu. Elle permet d’accueillir les textes bibliques qui, reçus dans la foi, sont Parole de Dieu.

DES EQUIPES DANS CHAQUE PAROISSE

Chaque paroisse a mis en place une équipe de personnes bénévoles, formées et disponibles, pour l’accompagnement des familles en deuil. Ce sont elles qui vous accueilleront et vous guideront depuis la préparation de la célébration jusqu’au lieu où reposera votre défunt.

VOS QUESTIONS…

Inhumation / Crémation :

L’Eglise catholique préfère l’inhumation, la manière dont Jésus Crist a été enseveli. Elle n’est pas opposée à la crémation, si celle-ci n’est pas choisie pour nier la foi en la résurrection de la chair. La célébration des funérailles aura lieu avant la crémation. L’Eglise recommande que les cendres soient déposées en un lieu de mémoire (tombe, columbarium ou cave-urne. Elle n’est pas favorable à la dispersion des cendres.

Et les non-baptisés ?

Lorsque la famille d’une personne non baptisée désire une célébration de funérailles à l’église, un temps de prière et d’Adieu sans les signes baptismaux pourra être proposé.

 

Contactez-nous par ici.

Le sacrement des malades : signe de l’Amour du Christ.

Qu'est-ce ?

Le Christ a manifesté une profonde compassion pour ceux qui souffraient.

Aujourd’hui l’Eglise reproduit pour les baptisés croyants les paroles et gestes de Jésus sauveur.

C’est le sacrement des malades, par l’imposition des mains et l’onction d’huile sainte.

« Venez à moi, vous tous qui peinez et je vous soulagerai. »

Ce sacrement est le signe de la tendresse de Dieu qui nous donne sa force pour supporter l’épreuve.

Le sacrement pour qui ?

Non seulement pour toute personne gravement atteinte ou menacée dans sa santé, mais aussi pour toute personne dont l’état physique comporte un affaiblissement notoire de ses forces, du fait de l’âge, de soucis de santé difficiles à supporter.

Un sacrement comment ?

Il est souvent célébré autour d’une seule personne dans une chambre d’hôpital.

Et il peut aussi être proposé dans le cadre d’une célébration communautaire (au cours d’une célébration dans les maisons de retraite) en paroisse...à la prière de l’Eglise pour les malades se joignent alors des membres de leur famille, de leur entourage, de leur communauté paroissiale.

Pratiquement dans notre paroisse

Le sacrement des malades peut être célébrer :
- à l’occasion des célébrations communautaires célébrées dans les 5 maisons de retraite,
- à domicile ou dans la chambre de votre maison de retraite.

Si vous souhaitez le sacrement des malades pour vous ou pour l’un des vôtres, contactez-nous par ici.

Se confesser

Comment se confesser ?

Il n’y a pas de chrétien sans rencontre personnelle avec le Christ. Un chrétien, c’est un ami du Christ. Or dans l’évangile, les rencontres avec le Christ sont l’occasion d’une conversion.

Ceux qui rencontrent le Christ font l’expérience d’être aimés. Et parce qu’ils sentent sur eux ce regard d’amour, ils n’ont plus peur de regarder leur vie, dans la lumière. Et ils demandent pardon pour leurs péchés. On a l’impression en lisant l’évangile que Jésus passe son temps à dire « tes péchés sont pardonnés » !

Pour nous catholiques, la confession, le sacrement du pardon, nous est donné comme l’un des plus beaux lieux de rencontre du Christ. La meilleure manière de s’y préparer, c’est de s’y prendre à l’avance. Une semaine avant par exemple, prendre le temps de méditer l’évangile du dimanche précédent en demandant à Dieu de nous aider à voir notre péché. C’est envoyant l’amour de Dieu pour nous que nous pouvons voir notre péché. Le péché c’est toujours un manque d’amour : manque d’amour envers Dieu (ne pas prier, ne pas aller à la messe, tourner la foi en dérision, ne pas faire confiance à Dieu, etc.), manque d’amour envers les autres ou manque d’amour envers nous-mêmes (addictions, mauvaise hygiène de vie, etc.). Plus je découvre l’amour de Dieu, par la prière, par la méditation de l’Ecriture, plus je peux découvrir mon péché. Certains préfèrent mettre les choses par écrit, pour être plus à l’aise dans leur rencontre avec le prêtre, c’est toujours possible. Le plus important, pour se préparer à la confession, c’est de contempler l’amour de Dieu, plus que mon péché !

La rencontre avec le prêtre.

On peut prendre RDV, ou aller rencontrer le prêtre avant ou après la messe (par exemple tous les mercredis à Landivisiau à 17h30 à la chapelle de Lourdes), ou profiter d’un créneau à l’occasion d’une fête.

Le sacrement commence par le signe de croix. Puis s’engage un dialogue avec le prêtre, qui est là au nom du Christ. On commence par se présenter, dire aussi à quand remonte notre dernière confession si on s’en souvient. Si on a pris le temps de se préparer à la lumière d’un passage d’évangile, on peut en parler en disant par exemple : « j’ai lu tel passage de l’évangile, et il y a cette phrase qui m’a marquée. Elle m’aide à voir que dans ma vie, il y a telle et telle chose pour lesquelles je veux demander pardon ». Puis on présente les péchés dont on demande pardon. Autant que possible, on cherche à confesser des actes et non pas des tendances. Etre gourmand n’est pas un péché, c’est un défaut. En revanche, avoir mangé jusqu’à en être malade ou ne pas avoir été attentif aux autres convives parce qu’on ne pensait qu’au repas est un péché. N’ayons pas peur de dire nos péchés en vérité : d’une part le prêtre est tenu au secret ; d’autre part il a déjà entendu bien pire !
Le prêtre qui entend un pécheur demander pardon en vérité est toujours émerveillé : car il y a dans ce sacrement une rencontre unique en vérité sous le regard de Dieu. Et le prêtre, pécheur lui-même, contemple non la laideur du péché, mais la beauté d’un frère qui peut enfin être en vérité devant Dieu.

Après un bref échange, le prêtre invite à une démarche concrète. On l’appelle « pénitence » : elle manifeste concrètement notre désir de changer. Cela peut être une prière, ou un service à rendre à telle ou telle personne de notre entourage, etc. Puis il peut nous inviter à dire une prière (par exemple l’acte de contrition) avant de nous donner l’absolution (le pardon de Dieu). Pour signifier ce geste du pardon, le prêtre étend la main (en signe de bénédiction). Et pendant qu’il dit « et moi au Nom du Père du Fils et du Saint-Esprit je vous pardonne tous vos péchés » il trace sur nous un signe de croix. Le pénitent est alors invité à tracer lui aussi ce même signe sur lui, pour manifester qu’il accueille ce pardon.

Localisez le prêtre disponible le plus près de chez vous et prenez rendez-vous grâce à l'application android GoConfess.

Ou contactez un des prêtres de la paroisse : le Père Jean-Yves, le Père Erwan, ou le Père Raphaël.

 

Quelques liens pour nous y aider :

http://www.paris.catholique.fr/-la-confession-le-sacrement-de-.html

http://www.saintlouisantin.fr/confessions-examen-de-conscience.php

http://www.famillechretienne.fr/vie-chretienne/autres-sacrements/comment-se-confesser-et-etre-touche-par-la-misericorde-du-christ-55176/comment-se-confesser-55181

http://croire.la-croix.com/Definitions/Sacrements/Se-confesser/Comment-se-confesser

Le mariage

"Vous vivez à deux, depuis longtemps ou depuis peu… 
Vous vous projetez dans le mariage ou pas encore…"

L'équipe de préparation au mariage propose aux couples de les accompagner dans leur projet de vie commune… que leur projet de mariage soit déjà mûri ou que leur projet nécessite de prendre un moment privilégié de réflexion sur la vie à deux.

Au fil des rencontres, les couples abordent les différentes facettes de la vie à deux.

Entourés de couples témoins, de prêtres et d'autres couples ayant la même démarche, chacun reçoit des clés pour réussir ses années de vie commune.

C'est aussi l'occasion d'échanger ensemble sur la vision de chacun, sur la notion d'engagement, sous toutes les formes qu'il peut prendre : mariage civil, sacrement de mariage... et sur la place de Dieu dans le couple.

Contactez-nous par ici.

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